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 just like old days; ted&&barbara.

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Barbara Gordon
Barbara Gordon


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MessageSujet: just like old days; ted&&barbara.   just like old days; ted&&barbara. EmptyJeu 18 Aoû - 20:11

just like old days.
ted & barbara.

Une fois par an, le multi-milliardaire Bruce Wayne organisait un gala de charité afin de collecter des fonds pour l'orphelinat des garçons de Gotham. Et comme chaque année, Barbara était sur la liste des invités. Si à une époque il avait été un peu réticent à l'idée de l'invité, l'époque où il ne connaissait celle-ci que dû à Batgirl, aujourd'hui, c'était une tradition, et pas une année ne se passe sans qu'il donne en main propre un carton d'invitation à la jeune rouquine. Alors comme chaque année, la rousse prenait sa soirée pour se rendre à ces galas, où la plupart du temps, son père était présent dû à son implication dans la sécurité de la ville – ce qui expliquait pourquoi Barbara arrivait à se faufiler dans ces soirées à une certaines époque – et ou surtout, elle venait toujours au bras de Richard Grayson, plus connu par ses proches sous le surnom de Dick. C'est d'ailleurs souvent ce qui attisait la jalousie des jeunes femmes de son âge présente à ce genre de soirée. Barbara, elle n'était pas de ce milieu là. Avec des revenus modestes, elle se payait difficilement un appartement dans un quartier pas spécialement chic de la ville. Son père avait beau être le commissaire de la ville, il ne gagnait pas excessivement d'argent. A vrai dire, il gagnait de quoi bien vivre avec sa fille à l'époque où ils étaient que tous les deux – et même avant que son frère finisse interné à Arkham, d'ailleurs, mais il n'était pas richissime non plus. Et à ce genre de soirée, toute la population la plus fortunée de Gotham, voir des Etats-Unis étaient présente, voilà pourquoi Barbara avait toujours la sensation de faire légèrement tâche, malgré ses tenues achetées avec attention et son look digne des demoiselles de la haute société de cette ville. Elle faisait beaucoup d'effort, pour se faire accepter de l'élite, des proches de Bruce Wayne, mais elle s'était vite rendu compte que c'était son naturel qui charmait les populations. Pourtant, il y avait ce groupe de fille, qui revenaient des universités telles que Yale, Harvard, où la réputation n'était littéralement plus à faire. Des filles d'entrepreneur ayant réussi, d'hommes politique ou de pouvoir, qui n'avaient même pas besoin de dépenser d'argent et qui étaient de vraies filles à papa. Elles étaient là, à chaque soirée hype de Bruce Wayne, car leurs rêves étaient justement d'accéder au cercle d'ami minuscule et proche de cet homme. Elles s'imaginaient déjà, invités aux dîners privés du milliardaire en compagnie de ses plus proches amis. Elles en bavaient, car Bruce Wayne était plus ou moins l'homme à fréquenter, mais il était aussi l'un des plus fermés et difficile à approcher. Mais elles rêvaient, bavaient. Et ne comprenaient pas comment une demoiselle telle que Barbara, si futile, si … banale avait pu réussir à l'approcher et à devenir presque membre de sa famille. - sans parler de la cap, évidemment. Puis elles avaient découvert la vérité : Dick Grayson avait succombé pour la rouquine, et depuis qu'ils s'affichaient, elles jubilaient moins, détestant intérieurement la rousse. Elles avaient eu espoir que ça ne marche pas vraiment. Mais en finalité, aujourd'hui, Barbara faisait presque partie de la famille de Bruce. Alors Barbara, ça la faisait rire. De voir des nanas, si BCBG se démener pour pouvoir avoir l'attention du milliardaire, alors que la rouquine du nom de Barbara l'avait naturellement.

Alors que le taxi s'arrêtait devant le manoir Wayne, le portier ouvrit la porte pour finalement attraper la main de la rouquine qui s'extirpait de la voiture. Elle observait ce manoir, illuminé de mille feux. C'était souvent le seul moment de l'année où elle le voyait tant allumée, car la plupart du temps, Bruce n'allumait pas autant le jardin, ni la villa en elle même. Avançant ainsi en direction de l'entrée, elle montrait son carton d'invitation et pénétrait dans les lieux, regardant absolument partout autour d'elle. Ce Manoir, elle en connaissait les moindres recoins, cependant, elle restait toujours stupéfaite, lorsque, illuminé comme tel, elle le voyait. Pourtant, rapidement la miss se reconcentrait sur la soirée et se mit à balayer du regard la pièce, curieuse de savoir qui pouvait bien se trouver là. Apercevant la silhouette du milliardaire, discutant alors avec son père, la miss prit cette route, faisant alors claquer ses talons sur le marbre luisant du manoir. Et enfin, ils l'a vit. Son père, en priorité, qui semblait toujours ne pas réaliser que la petite gamine qu'il avait gardé grandissait, puis Bruce, se retournant alors pour voir la rouquine. « Monsieur Wayne, Papa. » déclarait-elle tandis que son père la prenait dans ses bras. « Barbara, combien de fois vais-je devoir vous dire de m'appeler Bruce ? » La rouquine sourit tandis que son père reprenait sa place. « Tu es seule ? » demandait son père, étonné. « Oui, en parlant de ça ! » elle se tournait vers le multi-milliardaire ; « Dick m'a dit de vous dire qu'il était navré de ne pas venir ce soir, il était ... » « Je sais, il m'a prévenu. Merci à vous de bien vouloir le représenter au passage. » « C'est tout à fait normal voyons ! » Ils jouaient parfaitement la comédie. Personne ne pouvait deviner que derrière ces formules de politesse et ces vouvoiements, se cachaient deux être partageant un même secret, passant au tutoiement une fois les volets fermés. Bruce était un peu comme un second père pour elle, elle avait trouvé une certaine délivrance quand elle en avait besoin, un modèle, un mentor. Et si aujourd'hui, elle restait entièrement indépendante, il était toujours d'excellent conseil.
Ainsi, la discussion commençait, parlant de tout et n'importe quoi avec son père et le milliardaire. Et alors que son regard se tournait vers sa droite, elle vit une silhouette qu'elle ne connaissait que trop bien – car oui, en plus de ça, sa mémoire l'aidait à reconnaître les silhouettes des gens qu'elle connaissait -. Surprise mais tout de même satisfaite de le voir ici, la rousse se tournait de nouveau vers les deux hommes. « Vous m'excuserez ? » « Faites comme chez vous. » déclarait Bruce en montrant la voie à la rousse.
Ainsi, elle prit la direction du bar, et la voilà commandant un gin. Elle se tenait là, juste à côté du blond qui lui tournait le dos. Il ne semblait même pas avoir remarqué sa présence, voilà pourquoi la miss, souriante, déclarait lorsqu'elle reçu son verre. « Mais qui vois-je ? Ted Kord en personne. Qu'est ce qui s'est passé ? Bruce Wayne était fatigué de n'avoir affaire qu'à l'élite de Gotham ? » plaisantait-elle, attendant simplement que son ami finisse par se retourner. Et lorsque ce fut fait, elle ne pu s'empêcher de lui adresser un clin d'oeil. « Alors, comme ça, Monsieur est de passage à Gotham et il ne vient même pas saluer sa chère Barbara ? Je suis vexée. » continuait-elle en rigolant avant d'attraper son verre qui était devant elle, pour finalement renchérir. « Je dois dire que je suis agréablement surprise ! Je m'attendais vraiment pas à te voir ici ! Alors, Teddy, qu'est-ce que tu racontes de beau? »
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Ted Kord
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MessageSujet: Re: just like old days; ted&&barbara.   just like old days; ted&&barbara. EmptyLun 22 Aoû - 15:44

just like old days
Barbara & Ted
C'était gênant ! Vraiment très gênant de porter un costume. Cela ne serait pas du tout aux bons endroits, les chaussures faisaient mal au gros orteil et la ceinture faisait ressortir le léger ventre rebondit de Théodor. Malgré ses récents entraînements et une musculature qui revenait progressivement, il restait un homme trentenaire possédant un fort penchant pour la pizza et la bière et cela se voyait encore quelque peu. Mais il se l'était promis, sa forme olympique serait intégralement recouvrée d'ici trois mois. Trois petits mois pour se remettre en forme maintenant qu'il avait un objectif. Enfin pour l'instant la question n'était pas là. Tracy l'avait quasiment jeté à coup de pied aux fesses dehors, poussé dans le premier Taxi qu'elle avait sous la main en direction de l'aéroport et il avait fallu qu'il se rendes en jet à Gotham City. Cela faisait quasiment deux semaines qu'il n'était pas sorti des bâtiments de Kord Industries. Travaillant non-stop, ne prenant pas même le temps d'aller faire un petit tour pour se dégourdir les jambes. Et voilà qu'il se retrouvait en smoking au gala annuel de Bruce Wayne. Si cela avait été pour quiconque d'autre Ted serait certainement déjà parti après avoir goûté aux petits fours, mais la confiance qu'un homme comme Bruce mettait en lui le poussait à donner le meilleur de lui-même en cette soirée afin de suporter le protocole et d'être pour une fois à la hauteur de l'image que l'on attendait d'un PDG tel que lui.
« Merci d'être venu Ted, je suis ravi de t'avoir à nos côtés ce soir. Bien que je sache que ça ne soit pas vraiment ton truc n'est-ce pas ? » Malgré la différence de fortune, de rang et de popularité, Bruce Wayne avait toujours été amical et sincère avec Ted Kord, et ce depuis ces années formidables à la faculté où la plus grande richesse de Gotham venait garder un œil sur lui et le soutenir lors de ses tournois à la faculté, comme si Wayne avait toujours vu le meilleur en lui.
Théodor se fendit d'un sourire, serra la main de son protecteur de toujours et se dirigea vers le bar le laissant aux bons soins des personnalités de la haute société américaine. Ses jours et ses nuits passées à souder des planches de fers sur un exosquelette flexible et léger en plastique commençaient à se faire ressentir. Et l'inventeur plia soudain sous le poids de la fatigue tendis qu'il commandait un martini blanc sans olive.
Trop absorbé dans l'inspection du fond de son verre, l'héritier des Kord ne remarqua pas la présence qui s'approchait tel un chat dans l'ombre, ni le regard puissant et lumineux que l'on posait sur lui. Ce fut une voix bien connue et une fraguence douce qui sortirent Ted de ses pensées et le firent se retourner vivement, soudainement parfaitement réveillé. Un large sourrire illuminant son visage encore un peu joufflu embrouillé par une barbe naissante et une bonne dose de fatigue.
« Barbara Gordon ! » s'exclamat-il tendis que la jeune femme portait son verre à ses lèvres.
Il n'y avait pas pensé en arrivant, et pourtant il aurait certainement du. Pas une année elle n'avait été absente aux festivités, cette pétillante rousse au sourire envoutant et aux grands yeux de cristal. Barbara Gordon, la fille du commissaire de Gotham, petite amie de l'héritier de Bruce, bibliothécaire au cerveau bien remplit, et depuis quelques années déjà l'une des femmes que Ted estimait et appréciait le plus dans son entourage.
Elle semblait rire de lui, mais au ton de la voix de la demoiselle, le scientifique ne put s'empêcher de remarquer une pointe de reproche, effectivement, il était rare qu'il vienne jusqu'à Gotham de son plein gré, et jamais il n'avait loupé une occasion de venir rendre visite à cette amie qu'il appréciait tant afin de profiter de son sourire quelques minutes avant que son avion ne redécolle pour Star City.
« Je ne comptais pas venir mais Tracy ne m'a pas donné le choix et puis … » le regard de Ted se tourna vers Bruce qui se trouvait à présent assaillit par les photographes alors qu'il parlait avec mesure au maire de Gotham City, essayant toujours de se montrer mesurer dans ses gestes afin de rester le plus photogénique possible. Une attitude qui avait toujours fasciné Ted il fallait le dire.
« … Je fais ça pour Monsieur Wayne. »
C'était ainsi qu'ils c'étaient connus tous les deux. Grace à Bruce, tout dans la vie de Ted semblait parfois tourner autour de cet homme charismatique, et pourtant il était lui-même ce que l'on appelait un génie … du moins aux yeux de ceux qui ne l'appelaient pas un fou. Il y avait de cela quelques années maintenant. Elle l'avait connu bien plus en forme physique et mentale qu'aujourd'hui et pourtant Teddy n'avait pas honte ce soir, bien trop heureux de la revoir. Au fond de lui-même il refoulait les vagues de sentiments qu'il avait pour la demoiselle Gordon depuis des années, n'ayant rien en commun avec l'homme qui partageait sa vie, mais les choses allaient bientôt changer pour lui, il se reprenait en main, et peut-être lui avouerait-il un jour qui il était en dehors de son atelier.
« Rien de nouveau Barbie j'en ai bien peur … « the same old Ted » comme on dit. Avec juste un peu plus de boulot qu'avant. Et toi ? » Attrapant son verre, Kord le finit d'une traite, puis se racla doucement la gorge. Il n'aimait pas mentir, cela ne faisait pas vraiment parti de lui, tout comme être sociable, bien qu'il ait remarqué un très léger changement de comportement et d'aisance lorsqu'il portait son costume bleu … lorsqu'il ne revêtait pas ses lunettes jaunes protectrice des rayons et son pistolet à faisceau laser à la hanche, Ted restait un humain comme les autres, ayant toujours eu un léger problème de communication. Plus jeune il était ne voyait que lui-même, cherchait toujours à dépasser ses limites, aujourd'hui il s'oubliait pour laisser place à quelque chose de plus grand que lui-même pour le monde, mais dans tous les cas, il souhaitait plus que tout rester sincère. Sauf que a présent cela n'était plus possible, même avec sa Barbara.
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Barbara Gordon
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MessageSujet: Re: just like old days; ted&&barbara.   just like old days; ted&&barbara. EmptySam 27 Aoû - 10:34

just like old days.
ted & barbara.

La rouquine ne pu s'empêcher d'hausser un sourcil tandis que le coin de ses lèvres étaient légèrement remontés. Il était vrai que même si Bruce était un homme particulièrement apprécié, il n'était pas rare qu'Alfred soit contraint de le pousser à pointer son nez quand il le jugeait nécessaire, pour faire bonne figure en tant que représentant de Wayne Enterprise. A croire que c'était une spécialité des chef d'entreprises, pas être fanatique de ce genre d'événement. Quoi que Lex Luthor adorait faire parler de lui quand l'opportunité se présentait. Mais Luthor était encore un cas à part, puis on entendrait probablement plus parler de lui pendant longtemps puisqu'il était enfermé entre les murs de Belle Reve.
Mais en vue des paroles du jeune homme, le dit Monsieur Wayne devait probablement en faire beaucoup pour énormément de monde. Et c'est ça qui était formidable avec lui. Il paraissait froid, une véritable armoire à glace, et peut-être un peu imposant. C'était une image que beaucoup, du moins, la majorité des gens avaient de lui. Tous le monde voyait en lui un homme arrogant, aimant un peu trop la compagnie féminine et ne se foulant jamais le petit doigt pour quoi que ça soit. Disons que généralement, la classe moyenne pensait ça de cet homme. Pourtant, Barbara, comme beaucoup, savait pertinemment que Bruce était plus que ça. Un homme de foi, le genre qu'on aimerait avoir dans sa vie. Doux et attentionné, mais ferme et sachant prendre les mesures nécessaires même si cela impliquait de couper le contact avec quelqu'un – ou de renvoyer une personne de la Batfamily. Il était d'une générosité incomparable, reversant énormément de sa fortune à la fondation Wayne, aux hôpitaux, et à toute les causes importantes. Bruce Wayne était vu de manière totalement différente qu'il était réellement, et beaucoup oubliait qu'il avait tout de même sauver des gamins perdu après la mort de leurs parents ; Dick et Jason. Et si personne ne pourrait voir le résultat de l'éducation au Manoir Wayne sur Jason, Dick était l'exemple même que Bruce n'était pas un milliardaire irresponsable. Aimant les femmes, oui. Mais si tous le monde prenait ces demoiselles au bras de cet homme à chaque soirée pour un homme volage, la vérité était simplement qu'il ne pouvait pas concilié vie de couple sans mettre quelqu'un en danger avec sa double vie. Et c'était véridique. Chose qui en soit, ne s'appliquait à Barbara qui par chance, avait un petit ami dans la même situation qu'elle.
« Il est vrai que Bruce est quelqu'un de particulièrement exceptionnel. » déclarait-elle tandis que son regard avec suivi celui de Ted, fixant alors le milliardaire qui semblait prendre si à l'aise au milieu de toute cette population – alors qu'elle savait pertinemment qu'il n'avait qu'une hâte : que tous le monde quitter le Manoir pour qu'il puisse retourner s'enfermer dans sa Batcave. « C'est dommage que beaucoup ne voient en lui qu'un multi-milliardaire qui prend du bon temps dans son Manoir, il est tellement … plus que ça. » Et si elle pouvait le confirmer en tant que Batgirl, elle pouvait aussi le confirmer en tant que Barbara, et des nombreuses soirées passées au Manoir, à rester dormir ici, prétendant à son père qu'elle restait dormir chez une amie. Si il n'était pas très joueur et que les soirées films se faisaient essentiellement entre ce que l'on qualifiait de « sidekicks » parfois, il se joignait à eux, se laissant prendre au jeu. Ou encore chaque Noël, où il conviait tous le monde, allant jusqu'au Père de Barbara depuis qu'ils avaient compris que Barbara préférait les passés en compagnie de son petit ami au Manoir, et que l'ambiance était beaucoup plus joviale qu'un repas simpliste en tête à tête comme une soirée lambda. Grâce à Bruce, Barbara avait ce qu'elle n'avait jamais réellement eu en dehors de son père et son frère, une famille. Et si la Batfamily n'était qu'un surnom qu'on donnait aux justiciers nés grâce à Batman, c'était une vraie famille, et le manque de Jason se faisait réellement ressentir. Puis elle appréciait cette ambiance joviale, au point que même son père retrouvait un peu goût à la sociabilité. - Parce qu'entre nous le commissaire n'était pas connu pour être l'homme le plus sociable de la terre, entre son boulot qui lui prenait tout son temps, et le fait qu'il ne pouvait plus s'occuper de Barbara car elle vivait désormais seule, il se laissait un peu aller. Pas dépressif, mais pas très jovial non plus. « Mais n'empêche que ça n'excuse pas le fait que tu m'ais pas envoyer de message ! » plaisantait la rouquine en tapant l'épaule de son ami. Riant légèrement, elle prit une autre gorgée de sa boisson.

Concernant les nouveautés, à vrai dire il n'y avait pas grand chose à dire. Hm … Elle même ne savait pas ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie, outre qu'elle avait enfin coincé Le Sphinx et qu'elle l'avait mit derrière les barreaux. Mais ça, Ted n'avait – et ne devait – pas le savoir. « Et bien, bien … autant de nouveauté que dans la vie d'une bibliothécaire. Tu sais, entre les livres il se passe pas grand chose, juste … que je supporte de moins en moins mes collègues, mais ça, c'est pas vraiment une nouveauté ! » plaisantait la rouquine avant d'hausser les épaules. Finalement, la jolie rousse finie par balayer la tête, changeant alors de sujet – inutile de penser à ses collègues de travail maintenant. « Combien de temps restes-tu à Gotham ? J'imagine que ton temps ici est limité, mais vu que je suis pas vraiment sortie de cette ville et que tu viens pas régulièrement, j'imagine qu'on se recroisera pas avant longtemps ! Donc si tu as cinq minutes à m'accorder demain, je suis de repos donc si tu veux qu'on aille boire un café ou quelque chose comme ça, ça serait avec grand plaisir ! Juste histoire me dire au revoir dans les règles cette fois ! » un clin d'oeil et la voilà riant légèrement. Il était vrai que Ted était une personne pleine de ressource, agréable à fréquenté – et surtout la seule personne avec qui elle pouvait parler technologie sans avoir l'air de passer pour une espèce de geek bizarre et qui comprenait parfaitement son langage. « Et dans l'éventualité où ton vol est particulièrement tôt, j'espère que tu accepteras que je reste avec toi ce soir. T'es beaucoup plus intéressant que tout ces gosses de riches ennuyant à mourir et qui passent leur temps à jouer les amis de face, mais te taillades une fois que t'as le dos tourné. » disait-elle, un air totalement désabusé au visage. Parce que ouais. Outre les personnes ayant été éduqué par Bruce Wayne, ils étaient tous identique, et ça, Barbara ça l'énervait. Et si les miss à l'autre bout de la salle continuait de la fixer comme ça, elle finirait probablement pas régler ses comptes avec elle. Bien qu'elles devaient encore rager en voyant la miss s'entendre si bien avec un autre chef d'entreprise.
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Ted Kord
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MessageSujet: Re: just like old days; ted&&barbara.   just like old days; ted&&barbara. EmptyDim 28 Aoû - 0:35

just like old days
Barbara & Ted
Quelque chose de pompeux, un jeu de marionnettes ridicule, voilà ce que ressentait Ted dans ces lieux pleins de fastes. Et pourtant lui aussi connaissait l’histoire des Wayne, une histoire que bien des gens semblaient avoir oubliez, car bien qu’il soit bien plus jeune que Bruce, l’héritier Kord connaissait l’ombre qui planait sur l’enfance de son ami milliardaire. La mort tragique de ses parents, ses fugues à répétition, bien des rumeurs couraient à son sujet et pourtant Ted n’accordait que peu d’importance à tout cela. De la même manière que Barbara semblait regarder l’homme aux cheveux grisonnant avec le plus respect, Ted portait un regard plein d’humilité sur cet homme qui œuvrait auprès des éminents pontes du gouvernement pour créer un monde meilleur. Il était un super héros aux yeux de l’ingénieur, pas un de ceux qui portait des collants, pas un de ceux à qui Ted voulait ressembler aujourd’hui, non un héros bien plus discret usant simplement de son influence pour changer les choses dans sa ville. Gotham City était connu pour ses crimes à répétition et pour abrité le plus noir des héros, Bruce ne c’était jamais vraiment prononcé sur la question d’ailleurs …
Une petite alarme s’allumât au plus profond des pensées de Théodore alors qu’il y repensait à présent, une idée, une intuition qu’il se promit soudain d’étudier attentivement. Mais encore une fois la voix douce et maligne de Barbara le sorti de sa torpeur.
« Oui pardon j’aurai du te prévenir. Où demander à Tracy de le faire à ma place … » répondit-il avec un clin d’œil plein de malice, sachant pertinemment que la rousse était ce genre de femme à ne pas accepter qu’un homme ne donne d’ordre aux demoiselles. « La prochaine fois je le ferais sans faute je te le promets. Mais … je n’ai pas trop la tête où je suis en ce moment. »
La vérité aurait été bien trop dangereuse à savoir pour la jeune femme, comment pourrait-elle cautionner qu’il se jette dans la gueule du loup. Qu’il teste diverses machines et gadgets, elle qui avait toujours été si protectrice avec « son » Ted, cet homme avec qui elle parlait pendant des heures de nouvelles technologies, d’ordinateurs, de codages et de sucreries aux goûts étranges. Mais cela semblait bien loin à présent, Théodore ne venait plus souvent à Gotham, et elle n’avait pas les moyens de venir lui rendre une simple visite de courtoisie à Star City, sans compter sur ce surprotecteur de Dick que Ted admirait et jalousait à la fois. D’ailleurs où était-il celui-là ?
« Je ne sais pas si je dois te plaindre, ou bien plaindre tes collègues. Je ne travaillerais jamais avec quelqu’un comme toi ça c’est sûr ! Tu es bien trop autoritaire. » dit-il en répondant au coup de coude de la demoiselle et en souriant béatement comme un enfant fière de sa petite bêtise.
« Je reste à Gotham jusqu’à demain midi, mais ce n’est pas une raison pour m’abandonner à cette horde de demoiselles attirées par mes charmes naturelles. Je ne sais comment me protéger de cette faune tu sais bien ! »
Commandant un nouveau verre, Ted lançât un regard amusé à un groupe de jeunes femmes semblant avoir reconnu l’hériter Kord et qui s’approchait dangereusement du duo, gloussant et espionnant la rouquine et le grand gaillard. Non pas que cela ne le flatte, mais Teddy n’était pas vraiment un homme à femme, il n’avait d’yeux que pour celles qui étaient inaccessibles, comme les personnages secondaires de ces vieux films en noir et blanc qui laissaient toujours repartir la belle demoiselle aux bras de Cary Grant ou Clark Gable. Lui était né pour rester un personnage secondaire, du moins c’était ce que lui inspirait sa vie tous les jours.
« Mais je ne me fais pas de soucis pour toi, tu peux tout aussi bien taillader à ton tour n’est-ce pas ? Je me souviens de cette vieille histoire ou tu avais failli déboiter le bras du gars qui agressait une fille à la sortie d’un restaurant … par contre je suis incapable de me souvenir ce qu’on avait bien pu manger ce soir-là, était-ce du chinois ? »
Bien plus à l’aise, bien plus taquin, Ted prenait ses aises, attrapant le nouveau verre que l’on présentait à lui, remplit d’un whisky aux teintes clairs de caramel. L’alcool il avait toujours sur tenir, n’étant pas particulièrement porté sur la boisson et préférant de loin la saveur d’un bon soda de fast food, mais il fallait avouer que Bruce avait du goût en matière de Whisky, bien qu’au vu des rumeurs qu’on lui mettait sur le dos, ça soit plutôt le bon vin qui appelait le dernier des Wayne. Combien de bouteilles étaient apportées au manoir par jour déjà ? Ted était persuadé de l’avoir lu quelque part, mais il ne se souvenait plus du chiffre exacte, à moins qu’encore une fois ça ne soit que des rumeurs.
« Et ton chevalier servant ? Ou se cache-t-il se soir ? Il poursuit encore l’homme chauve sourit avec ses coéquipiers ou la police de Gotham a-t-elle enfin compris qu’elle devait plutôt mettre ce justicier dans leur poche ? »
La question aux notes désinvoltes de Théodore n’avait pourtant rien d’un sujet de conversation anodin, et derrière ce sourire charmant qu’il affichait, Ted m’était déjà en branle son esprit d’investigation afin d’en savoir un peu plus sur ce qui se passait au sein de Gotham City, une ville dans laquelle il lui semblait qu’il ne faisait pas bon vivre et qui pourtant l’attirait inévitablement, comme si une part de son destin se trouvait ici et non à Star City où il avait pourtant prit résidence pour son plus grand plaisir, pouvant ainsi profiter des bienfait de la mer et surtout du plus grand et du mieux équipé des ateliers de fabrication de nanotechnologie.
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